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Et la vie continue |
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Lui qui s'est arrêté au milieu du morceau |
."Et la vie continue" est une chanson de Georges Chelon qui reflète l'inévitabilité de la vie qui continue malgré les pertes personnelles et les tragédies. Les paroles décrivent divers événements tristes, tels que la perte d'un ami et des catastrophes survenant ailleurs, tout en soulignant que la vie continue inexorablement.
« Lui qui s'est arrêté au milieu du morceau » :
Cette phrase fait référence à Didier Lockwood, un violoniste de jazz, en suggérant que sa vie a été interrompue prématurément, comme s'il avait cessé de jouer au milieu d'un morceau. Cela évoque l'idée d'une vie inachevée ou d'un potentiel non réalisé.
« Elle qui n'a pas pu achever le tableau » :
Ici, l'auteur utilise une métaphore similaire pour une artiste peintre qui n'a pas pu terminer son œuvre. Cela renforce l'idée de l'inachèvement et de l'interruption brutale de la création artistique.
« Qui sait ? Là-haut / Peut-être en duo / Là-haut, Qui sait ? » :
Ces vers introduisent une dimension spirituelle ou métaphysique. « Là-haut » fait référence à un au-delà, un endroit où les âmes pourraient continuer à exister après la mort. L'idée d'un « duo » suggère que Didier Lockwood et cette femme pourraient se retrouver et collaborer artistiquement dans cet au-delà.
« On ne sait jamais / Peut-être la vie continue / Comme si de rien n'était » :
Ces dernières lignes expriment l'incertitude et l'espoir. L'auteur semble dire que personne ne peut être certain de ce qui se passe après la mort, mais il y a une possibilité que la vie continue d'une manière ou d'une autre, peut-être de manière immuable (« comme si de rien n'était »).
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