Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse,
Au fond d’un monument construit en marbre noir,
Et lorsque tu n’auras pour alcôve et manoir
Qu’un caveau pluvieux et qu’une fosse creuse ; |
.Déjà, le titre 'Remords posthumes' est un spoiler : on parle de regrets, mais après la mort. C'est comme recevoir une facture impayée alors qu'on est déjà six pieds sous terre. Trop tard, ma belle !
Baudelaire nous rappelle que la mort est la grande égalisatrice : peu importe tes frasques, tes amours, tes erreurs, au final, tu finiras en nourriture pour vers. Alors, autant vivre sans regrets, parce que les remords posthumes, c'est trop tard pour les rattraper.. (*) texte et illustration générés par IA. |