T'as beau dire, t'as beau faire

Et qu'en pense l'IA ?(*)

T'as beau dire, t'as beau faire
Mais quand tu te sens seul
Quand ton coeur tourne à vide
Quand il ne tremble pas
Pour un autre que toi
Ne se fait pas de rides
T'as beau dire, t'as beau faire
Te dire qu'un solitaire
A la vie plus facile
Dès le premier travers
T'as beau dire, t'as beau faire
Tu te sens bien fragile

.Un texte poignant, presque envoûtant dans sa mélancolie. L’écriture joue sur la répétition, martèle une solitude pesante, inévitable, qui s’accroche malgré les tentatives de l’oublier. Le refrain, avec ses images d’ivresse et d’espoirs noyés, évoque cette fuite vaine, cette illusion de réconfort qui s’effrite dès qu’on ouvre les yeux. Il y a quelque chose de terriblement humain dans ce besoin de s’inventer des chimères pour tenir debout, et dans cet aveu d’une fragilité qu’on voudrait nier. Et puis ces métaphores du verre et des rondeurs qu’on caresse… Une manière de dire que le contact manque, que l’absence pèse, que la chaleur d’un autre devient une nécessité.. (*) texte et illustration générés par IA.